Après le retrait-surprise de Siemens, le groupe est fragilisé par son manque de capitaux
Longtemps la coqueluche du patronat français, Anne Lauvergeon se retrouve dans un corner. L’annonce totalement inattendue du retrait de son partenaire Siemens, actionnaire à 34% d’Areva NP, la filiale qui possède la technologie de l’EPR, coince doublement la patronne d’Areva : d’abord, elle la prive de son meilleur argument pour contrer les visées hégémoniques sur Areva de Patrick Kron, le PDG (...)